Depuis l’enfance de Jeanne Parkin dans les années 1920, l’art a constamment fait partie de sa vie. « Je dis à tout le monde : “On ne peut jamais trop regarder de l’art.” » Pour elle, comprendre l’art est « une question de regarder sans arrêt. Tu vas à des expositions, tu vas à des conférences. Plus tu regardes, plus vite tu commences à comprendre. » Parkin dit par ailleurs que « même si je suis essentiellement une minimaliste –, et ce, depuis le tout début », elle indique clairement qu’elle « adore beaucoup d’autres formes d‘art et styles ». Voici une sélection d’œuvres qui ont joué un rôle clé dans la vie et la carrière de Parkin.
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Tobacco Patch, de George Pepper, 1937
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Portrait d’une dame de Rogier van der Weyden, v. 1460
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Accélérateur chromatique de Claude Tousignant, 1968
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Tempête de grêle en Alberta de William Kurelek, 1961
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Femme assise de Pablo Picasso, 1927
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Elvis I et II de Andy Warhol, 1963-1964
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Chaussures de course bleues de Gathie Falk, 1973
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Iceberg de Paterson Ewen, 1974
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Caribou en terre aride de Joyce Wieland, 1977-1978
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Situation délicate de Mark di Suvero, 1978
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Les trois Grâces de General Idea, 1982
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La London Six de John Boyle, 1984
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Un arbre et un banc, Vancouver, C.-B. by Rodney Graham, 1996
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Fête heureuse de Agnes Martin, 1999
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Mondrian ©ontaminé no 9 de General Idea, 1994
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Extase by Shirin Neshat, 1999
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No 1, blanc et rouge de Mark Rothko, 1962
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Gens marchant de Julian Opie, 2006
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Sol LeWitt : Une retrospective de dessins muraux au Mass MoCA
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L’index de David Altmejd, 2007