« Toute la nature, jusqu’à l’horizon, émettait l’accord sombre qui serait à l’unisson avec le refrain des perdus et les cavernes de la forêt vibraient dans leur profondeur mystique », se souvient-il dans une description non datée de l’expérience d’un paysage nocturne. « [Tout] semblait relié par des liens invisibles et les limites de la terre semblaient s’élever dans les airs, comme connectées aux esprits d’autres mondes. »
Ruisseau au clair de lune peut être interprété comme appuyant ces idées – une déclaration de fin de carrière très personnelle. Les tonalités du ciel ont peu en commun avec celles utilisées par d’autres artistes canadiens de l’époque, qu’ils soient traditionnels ou modernes.