En 1893, la carrière de Watson est florissante, et il profite de son revenu confortable pour agrandir son atelier et sa maison. Il décore ensuite la portion agrandie et l’atelier d’origine d’une frise peinte qui fait, encore aujourd’hui, tout le tour des murs, juste en dessous du plafond.
D’après Watson, tout art digne d’intérêt est fondé sur la tradition. La frise de son atelier offre la confirmation visuelle de cette conviction en rendant hommage aux peintres européens qu’il admire le plus – tout comme la majorité des autres peintres paysagistes canadiens.