Modeste par la taille et le sujet, Rose d’octobre n’en est pas moins audacieuse par la palette et la conception. On y reconnaît l’héritage russe de l’artiste et des racines artistiques plongées dans le postimpressionnisme.
La palette vive et la surface texturée de Rose d’octobre plaisent à Isabel McLaughlin (1903-2002), membre comme Clark du Groupe des peintres canadiens, puisqu’elle achète le tableau de sa consœur à l’occasion de la vente organisée au profit de la Russie à la Picture Loan Society, en décembre 1942. Grâce au produit des ventes de cette exposition, Clark donne environ 500 $ au Canadian Aid to Russia Fund (Comité de soutien à la Russie).