Quand Clark arrive d’Europe, elle déplore que l’art de son nouveau pays ne soit que « paysages, paysages, paysages ». Pourtant, au cours des années suivantes, elle produit elle-même plus de paysages que de natures mortes, de portraits ou de tableaux à caractère social, ces derniers lui valant sa réputation actuelle.
Pourtant, le paysage de Clark doit aux théories de la perspective de son professeur Kouzma Petrov-Vodkine (1878-1939), l’horizon et le point de vue en hauteur. Le champ, cultivé, évoque l’intervention de l’homme sur la terre ; celui que représente Clark révèle qu’elle adapte parfaitement sa formation russe à un sujet canadien.