Dans La petite plante, la croissance exubérante de la plante fleurie contraste avec la vive énergie de l’écran épais que forment les arbres à l’extérieur.
La plus grande préoccupation de FitzGerald est l’expression d’une unité entre tous les éléments de l’image afin que l’intérieur et l’extérieur soient réunis en une seule entité vivante. En dégageant une géométrie rythmique du fouillis de la nature, FitzGerald crée un monde à la fois plus animé et plus tranquille que ce qu’il a devant les yeux.