Les mondes astraux que dépeint Morrisseau dans cette œuvre à grande échelle ne remplacent ni n’effacent son vocabulaire culturel anichinabé. Ces mondes témoignent d’une fusion. Après une vingtaine d’années d’études, Morrisseau a pleinement intégrés les enseignements d’Eckankar dans son vocabulaire visuel.
Le calme règne dans ce tableau qui reflète le sentiment de quiétude auquel parvient l’artiste à partir de la soixantaine. Morrisseau a trouvé un équilibre dans sa vie personnelle et cette œuvre en témoigne.