Macdonald est un lecteur assidu des magazines d’art contemporain et des tous derniers écrits consacrés à la théorie esthétique, la science et les mathématiques. En 1939, la famille Macdonald voyage en Californie et visite du Golden Gate International Exposition à San Francisco. Macdonald s’émerveille des œuvres des modernistes contemporains européens et américains. Ses notes pour sa conférence de 1940, « L’art en relation à la nature », révèlent que son exploration de l’abstraction est le résultat d’un profond engagement envers une expression artistique personnelle qui soit représentative de « la force [. . .] à laquelle l’univers entier se conforme ». Il cherche à « exprimer la conscience de l’époque ». Comme il l’écrit : « [Pour] être créatif, vraiment créatif [. . .] il faut s’exprimer dans les langages de son temps. »
Jock Macdonald : La quête de nouvelles formes de beauté
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Détail des notes de Jock Macdonald pour la conférence “Art in Relation to Nature” (« L’art en relation à la nature »), présentée pour la première fois en février 1940, collection de Marilyn Westlake Kuczer.