À la fin des années 1950, Sullivan se tourne vers la sculpture, un médium qui lui offre une certaine flexibilité durant la période où elle élève ses quatre enfants, et elle s’affirme rapidement comme l’une des sculptrices modernes les plus importantes du Québec. En 1966, elle est engagée pour créer une sculpture monumentale pour le site d’Expo ’67. L’œuvre est étonnamment ludique. Le titre, Callooh Callay, est tiré de l’ouvrage de 1871 de Lewis Carroll, Through the Looking-Glass and What Alice Found There. C’est une expression de joie.
En constante évolution : l’œuvre de Françoise Sullivan
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Françoise Sullivan, Callooh Callay, 1967
Acier peint, 284,5 x 122 x 91 cm, Université de Regina, Saskatchewan