Je tiens à souligner la générosité du commanditaire principal de ce livre : la Jay and Barbara Hennick Family Foundation.
Cet ouvrage n’aurait pas été possible sans le soutien et la confiance de la famille de Sorel Etrog. Jonathan Gendler, neveu de l’artiste et liquidateur de la succession Sorel Etrog, est le meilleur ami qu’un historien de l’art puisse avoir. Nous avons passé de nombreuses heures dans les bureaux de la succession, à s’imprégner de l’art de son oncle et à en discuter. Jonathan a répondu littéralement à des centaines de courriels et de textos. Il a contribué à dénicher de l’information et il a facilité l’accès aux membres clés de la communauté Etrog, dont, surtout, sa mère, la sœur de l’artiste, Zipora Gendler. Zippy, merci de m’avoir confié l’histoire de votre vie et d’avoir partagé avec moi les souvenirs de votre famille en Roumanie et durant les premières années en Israël. Je suis honorée et reconnaissante d’avoir gagné votre confiance. Merci d’avoir ouvert votre album photo personnel et de m’avoir permis d’inclure ces magnifiques images dans cet ouvrage.
Je remercie tous les amis et connaissances de l’artiste d’avoir passé du temps avec moi pour me raconter ce qu’ils en connaissaient et me faire part de leurs souvenirs. Merci à Howard Aster, Gary Michael Dault, Karen Green, Gregory Humeniuk, Gerry Jennings, Annette Mangaard, Karen McGuffin, David Moos, Barry Mowatt, Dennis Reid, Sherry Stein, Matthew Teitelbaum et Eva Verga. Merci à Mona Filip de m’avoir aidée avec une question sur le monde de l’art roumain. Un merci particulier à Ihor Holubizky qui m’a éclairée avec sa vaste connaissance du travail d’Etrog et de l’art canadien en général. Joyce Zemans a répondu à des millions de questions en plus de me prêter sa recherche et ses dossiers personnels sur l’artiste sans lesquels cet ouvrage n’aurait pas été complet. Ihor et Joyce ont également lu une première ébauche du manuscrit et m’ont transmis leurs commentaires. Je tiens à leur exprimer ma profonde gratitude.
Merci à Amy Furness, Marylin Nazar, Larry Pfaff et Donald Rance de Bibliothèque et archives E. P. Taylor du Musée des beaux-arts de l’Ontario qui m’ont si aimablement accueillie pendant les mois de recherches archivistiques.
Ma reconnaissance profonde va à l’équipe de l’IAC pour son aide et ses commentaires détaillés : merci à Sara Angel et Michael Rattray, de même qu’à Stephanie Burdzy, Josée Desforges, Kendra Ward et Simone Wharton. À ma réviseure, Lara Hinchberger : merci de faire de moi une meilleure écrivaine.
Je dois tout à Sebastian et Ela Salome. Merci pour l’amour, le soutien et le bonheur.
De l’Institut de l’art canadien
L’Institut de l’art canadien tient à souligner la générosité de la Jay and Barbara Hennick Family Foundation, le commanditaire en titre de cet ouvrage.
Pour leur appui et leur soutien, l’Institut de l’art canadien tient à remercier l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision (Maria Pilar Galvez); Alamy (Princess Pratt); la Banque du Canada (Janik Aubin-Robert, Susan Hooper et Alexa Lapierre); la succession Barbara Hepworth (Sophie Bowness); la Bibliothèque de l’Université Mount Allison (David Mawhinney); la Financière Sun Life Inc. (Anna Ceci, Amber Kennedy et Nazuk Maini); le Hammer Museum (Matthieu Vahanian); la Collection McMichael d’art canadian (Jacqui Usiskin); la Hart House (Heather Pigat); la Hennick Family Wellness Gallery (Gary Newton et Amy Anderson); le MacLaren Art Centre (Emily McKibbon); Maclean’s (Liz Sullivan); les Martha Jackson Gallery Archives de l’Université de Buffalo (Nicholas Ostness); Miriam Shiell Fine Art (Simon Bentley); le Musée des beaux-arts de Montréal (Marie-Claude Saia); le Musée des beaux-arts du Canada (Raven Amiro); le Musée des beaux-arts de l’Ontario (Amy Furness, Marilyn Nazar et Tracy Mallon-Jensen); le Musée d’art de Tel Aviv (Yaffa Goldfinger); NUVO Magazine (Alessandra Bordon); Prestel (Ute Zörbach); la Rumi Gallery (Joseph Rumi); la Special Collections Education & Outreach Librarian at Rauner Special Collections Library (Morgan R. Swan); la Tate (Fintan Ryan); le United States Holocaust Memorial Museum; l’Université de Lethbridge (Juliet Graham et Andrea Kremenik); Veterans Affairs Canada (Gail Ferris et Dean MacDonald); la Ville de Windsor (Christopher Lawrence-Menard et Cathy Masterson); Waddington’s Auctioneers & Appraisers (Solomon Alaluf et John Macdonald); ainsi que Craig Boyko, M. John Curtin, James Dawson, John Dean, Jill Delaney, Ph. D., Jonathan Gendler, Zipora Gendler, Toni Hafkenscheid, M. Jay S. Hennick, Mme B. Hennick, Andrea Kunard, Ph. D., Carol Payne, Ph. D., et Danielle Siemens.
L’Institut de l’art canadien tient également à souligner l’appui des autres commanditaires de la saison 2019-2020 du projet de livres d’art canadien en ligne : Alexandra Bennett en mémoire de Jalynn Bennett, Anonyme, Cowley Abbott, Kiki et Ian Delaney, la Sabourin Family Foundation, la Banque Scotia ainsi que Bruce V. Walter.
L’Institut de l’art canadien remercie en outre son commanditaire fondateur : BMO Groupe financier; ainsi que ses mécènes : Anonyme, Marilyn et Charlie Baillie, Christopher Bredt et Jamie Cameron, la Butterfield Family Foundation*, David et Vivian Campbell*, la Connor, Clark & Lunn Foundation*, Albert E. Cummings*, la famille Fleck*, Roger et Kevin Garland*, la Glorious & Free Foundation*, la Scott Griffin Foundation*, Jane Huh*, Lawson Hunter, la Gershon Iskowitz Foundation*, la Alan et Patricia Koval Foundation, Phil Lind*, Nancy McCain et Bill Morneau*, Alistair Mitchell, John O’Brian, Judith et Wilson Rodger, Gerald Sheff et Shanitha Kachan*, Stephen Smart*, Nalini et Tim Stewart*, Tina Tehranchian et Robin et David Young*.
L’IAC est également très reconnaissant envers ses mécènes principaux : Alexandra Baillie, Alexandra Bennett et la Jalynn Bennett Family Foundation*, Grant et Alice Burton, Kiki et Ian Delaney*, Jon S. et Lyne Dellandrea*, K. James Harrison, Michelle Koerner et Kevin Doyle*, Sarah et Tom Milroy*, Partners in Art*, Sandra L. Simpson*, Pam et Michael Stein*, ainsi que Sara et Michael Angel*.
* Indique un mécène fondateur de l’Institut de l’art canadien.
SOURCES PHOTOGRAPHIQUES
Tout a été fait pour obtenir les autorisations de tous les objets protégés par le droit d’auteur. L’Institut de l’art canadien corrigera volontiers toute erreur ou omission.
Mention de source de l’image de la page couverture
La famille Etrog à sa maison de Rishon LeZion en Israël, vers les années 1950. Photographe inconnu. Avec l’aimable autorisation de Zipora Gendler.
Forme uniche della continuità nello spazio (L’Homme en mouvement), 1913, de Umberto Boccioni. Museum of Modern Art, New York, acquisition par l’entremise du legs de Lillie P. Bliss par échange (231.1948). Avec l’aimable autorisation de Wikimedia Commons.
Grand-maman maternelle Feigi avec Sorel, 1933. Photographe inconnu. Avec l’aimable autorisation de Zipora Gendler.
Guernica, 1937, par Pablo Picasso. Museo Reina Sofia, Madrid (DE00050). Mention de source : Museo Reina Sofia, Madrid.
Des habitants juifs de Iaşi en Roumanie sont assassinés dans les rues de la ville en juin 1941 après le début de la Seconde Guerre mondiale. Photographe inconnu. Avec l’aimable autorisation du United States Holocaust Memorial Museum, Washington, D.C. (9036).
Une lettre d’Ayala Zacks à Sorel Etrog rédigée en hébreu, 1959 (la première page de deux). Fonds Sorel Etrog, Bibliothèque et archives Edward P. Taylor, Musée des beaux-arts de l’Ontario, Toronto, don de la succession de Sorel Etrog, 2014 (LA.161718).
Mémorial national du Canada à Vimy, 1922-1936, par Walter S. Allward. Lieu historique national du Canada Crête-de-Vimy, Gouvernement du Canada. Avec l’aimable autorisation de Anciens Combattants Canada. Mention de source : Dean MacDonald.
Moïse, 1513-1515, de Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, dit Michel-Ange. Basilique San Pietro in Vincoli, Rome (Italie). Avec l’aimable autorisation de Wikimedia Commons. Mention de source : Jörg Bittner Unna.
Moriţ, Lika, Tony et Sorel Etrog lors d’une visite à Venise Italie, vers les années 1970. Photographe inconnu. Avec l’aimable autorisation de Zipora Gendler.
Des policiers roumains passent à côté des corps des Juifs retirés du train de la mort Iaşi-Călărași à Târgu Frumos, 1er juillet 1941. Photographe inconnu. Avec l’aimable autorisation du United States Holocaust Memorial Museum, Washington, D.C. (27430).
Samuel Beckett et Sorel Etrog signant Imagination Dead Imagine (Imagination morte imaginez), 1982, dans l’atelier de Beckett à Paris. Photographie de Michael Nguyen. Avec l’aimable autorisation de la succession Sorel Etrog.
Des soldats roumains et un cadet mettent un groupe de Juifs en arrestation au 157 I.C. rue Bratianu, lors du progrom de Iaşi, 29 juin 1941. Photographe inconnu. Avec l’aimable autorisation du United States Holocaust Memorial Museum, Washington, D.C. (74093).
Sorel Etrog et Pierre Matisse au vernissage de l’exposition d’Etrog à la Matisse Gallery, 1965. Photographie de Fred Stein. Avec l’aimable autorisation de la succession Sorel Etrog.
Spatules en tilleul (kena), 20e siècle. Collection du Brooklyn Museum, don de la Ernest Erickson Foundation, Inc. (86.224.147). Avec l’aimable autorisation du Brooklyn Museum.
La Tauromaquia, Plate No. 19: “Otra locura suya en la misma plaza” (La Tauromachie [planche no 19 : « Une autre de ses folies dans la même arène »]), 1816, par Francisco Goya. National Gallery of Art, Washington, D.C., États-Unis (1943.3.1638). Mention de source : National Gallery of Art.