Le texte de cette monographie repose sur plusieurs années de recherche. Elles ont débuté au tournant des années 1970, au moment où je rédigeais mon mémoire sous la direction de François-Marc Gagnon à l’Université de Montréal. Je tiens à lui rendre hommage et à le remercier sincèrement pour le soutien rigoureux et amical qu’il m’a apporté alors et au cours des ans. François-Marc Gagnon qui disparaît au moment où paraît ce livre a été une source d’inspiration par les nouveaux centres d’intérêt qu’il a développés d’une manière magistrale. Son apport à l’histoire de l’art est immense et n’a d’égal que sa curiosité et sa générosité.
Le personnel de plusieurs institutions : musées, centres d’archives, bibliothèques, communautés religieuses et paroisses, ainsi que celui de nombreuses galeries d’art et des collectionneurs privés ont prêté leur concours à ces découvertes. Que toutes et tous soient remerciés. Une personne, en particulier, a porté le souvenir d’Ozias Leduc. Gabrielle Messier (1904-2003) fut la dernière assistante du peintre et par sa mémoire indéfectible a permis de transmettre des connaissances sur la carrière et la personnalité de son maître. Je suis privilégié d’avoir profité de son amitié et de sa bienveillance. La Société d’histoire de Beloeil-Mont-Saint-Hilaire est un centre d’information toujours à l’affût de nouvelles connaissances sur Leduc et je leur sais gré de leur appui constant.
Depuis près de cinquante ans maintenant, je suis souvent revenu vers l’art de Leduc et j’ai été stimulé par plusieurs collègues et étudiants qui ont poursuivi des travaux sur l’artiste de Saint-Hilaire. Je suis particulièrement reconnaissant envers toutes ces personnes qui ont fait progresser nos connaissances sur Ozias Leduc, en particulier à Arlene Gehmacher et à Monique Lanthier qui ont collaboré très étroitement à la réalisation de la rétrospective de 1996 tenue à Montréal, Québec et Toronto. L’art de Leduc est toujours actuel et mérite d’être transmis et interprété pour de nouvelles générations. Je forme le vœu que les travaux se poursuivent en vue de diffuser son idéal de connaissances et de beauté.
Cet ouvrage numérique bilingue n’aurait pas été possible sans les efforts de tous les instants des membres de l’équipe de l’Institut de l’art canadien. J’ai été en contact plus directement avec certains d’entre eux dont Kendra Ward, Michael Rattray, Ersy Contogouris et Laura Demers, entre autres. Plusieurs autres personnes sont directement associées à la réalisation de ce livre que ce soit pour la traduction, la révision du texte, le graphisme et la mise en ligne. Que tous et toutes soient ici remerciés.
Un merci tout spécial s’adresse à Sara Angel et à tous les membres de l’exécutif de l’IAC, à son Conseil d’administration et à Sandra L. Simpson commanditaire principale de ce livre qui rejoindra de nouvelles générations de Canadiens.
De l’Institut de l’art canadien
La parution de ce livre d’art en ligne a été rendue possible grâce à la générosité de Sandra L. Simpson, commanditaire en titre de cette publication.
L’Institut de l’art canadien tient également à souligner l’appui des autres commanditaires de la saison 2018-2019 du projet de livres d’art canadien en ligne : Anonyme, Alexandra Bennett en mémoire de Jalynn Bennett, Consignor Canadian Fine Art, Kiki et Ian Delaney, Maxine Granvosky Gluskin et Ira Gluskin, la Fondation Gershon Iskowitz, la Fondation de la famille Sabourin ainsi que Karen Schreiber et Marnie Schreiber.
L’Institut remercie en outre BMO Groupe financier, commanditaire fondateur de l’Institut de l’art canadien. L’IAC est également très reconnaissant envers ses mécènes : la Fondation de la famille Butterfield*, David et Vivian Campbell*, la Fondation Connor, Clark & Lunn, Albert E. Cummings*, la famille Fleck*, Roger et Kevin Garland*, la Fondation Glorious & Free*, Charlotte Gray et George Anderson, la Fondation Scott Griffin*, Jane Huh*, Lawson Hunter, la Fondation Gershon Iskowitz *, la Fondation Alan et Patricia Koval, Phil Lind*, Nancy McCain et Bill Morneau*, John O’Brian, Gerald Sheff et Shanitha Kachan*, Stephen Smart*, Nalini et Tim Stewart et Robin et David Young*.
L’IAC est également très reconnaissant envers ses mécènes principaux : Alexandra Baillie, Alexandra Bennett et la Fondation de la famille Jalynn Bennett*, Grant et Alice Burton, Kiki et Ian Delaney*, Jon S. et Lyne Dellandrea*, Michelle Koerner et Kevin Doyle*, K. James Harrsion, Sarah et Tom Milroy*, Partners in Art*, Sandra L. Simpson*, Pam et Michael Stein*, et Sara et Michael Angel*.
* Indique un mécène fondateur de l’Institut de l’art canadien.
Pour leur appui et leur soutien, l’Institut de l’art canadien tient à remercier les Archives de Montréal/UQAM; la Art Gallery of Ontario (Lee-Anne Wielonda); la Galerie d’art Beaverbrook (Celine Gorham); Bibliothèque et Archives Nationales du Québec (Geneviève Tessier); la chapelle de l’évêché de Sherbrooke; l’église Notre-Dame-de-la-Présentation; l’église de la paroisse de Saint-Hilaire; l’église Saint-Enfant-Jésus; l’église Saint-Rémi de Napierville; la Eric Klinkhoff Gallery (Johanne Boisjoli et Eric Klinkhoff); le Harvard Art Museums; la Collection patrimoniale de la Chambre des communes (Barbara Amona, Danielle Migeon et Brandon Potter); la Lady Lever Art Gallery; le Monastère des Augustines (Ariane Blanchet-Robitaille); le Musée d’art contemporain de Montréal (Pascale Tremblay); le Musée des beaux-arts du Canada (Raven Amiro, Anne Eschapasse, Véronique Malouin et Susan Short); le Musée d’art de Joliette (Nathalie Galego); le Musée des beaux-arts de Montréal (Marie-Claude Saia); le Musée des beaux-arts de Saint-Hilaire (Noémie Chevalier et Chantal Millette); le Musée des beaux-arts de Tourcoing; le Musée de la civilisation du Québec; le Musée national des beaux-arts du Québec (Myriam Le Lan); le Musée Pierre-Boucher (Andrée Brousseau et Serge Desaulniers); Patrimoine culturel de Shawinigan (Stéphane Jutras et Violette Tetrault); le Philadelphia Museum of Art; le Solomon R. Guggenheim Museum, New York; la Studio International Foundation; la Tate London; la Thomas Fisher Rare Books Library (John Shoesmith); l’Univers culturel de Saint-Sulpice (Pascale Bergeron et Jean Rey-Regazzi); ainsi que Jim Burant, Laurier Lacroix, Simone Leduc-Lamy, Gilles Lessard, Paul Litherland et Daniel Olson. L’IAC remercie en outre les nombreux collectionneurs privés qui ont donné leur accord pour que leurs œuvres soient publiées dans cette édition.
SOURCES PHOTOGRAPHIQUES
Tout a été fait pour obtenir les autorisations de tous les objets protégés par le droit d’auteur. L’Institut de l’art canadien corrigera volontiers toute erreur ou omission.
Mention de source de l’image de couverture
Mentions de sources des images des bannières
Mentions de sources des œuvres de Leduc
Mentions de sources des photographies et des œuvres d’autres artistes