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  • Cadieux, Geneviève (née en 1955, Montréal, Québec) Cadieux, Geneviève (née en 1955, Montréal, Québec)

    Établie à Montréal, Geneviève Cadieux est reconnue pour ses œuvres photographiques à grande échelle consacrées au corps. Les vues rapprochées de blessures, telles que des cicatrices et des ecchymoses, font référence à des expériences de souffrance et de traumatisme ainsi qu’à leurs manifestations sur le corps. Cadieux est professeure à l’Université Concordia et, en 2011, elle a obtenu le Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques.

     

    Image : Geneviève Cadieux, Trou de mémoire, la beauté inattendue, 1988, épreuve à développement chromogène et miroir sur bois, (assemblée) 208 x 472 x 14 cm; (photographie) 208 x 335 x 14 cm; (miroir) 208 x 137 x 14 cm, Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Cadieux, Geneviève et. al., Geneviève Cadieux, catalogue d’exposition, Vancouver, Morris and Helen Belkin Art Gallery, 1999.

     

    Cadieux, Geneviève, Annelie Pohlen et Jan Foncé, Geneviève Cadieux, catalogue d’exposition, Ostfildern, Cantz Verlag, 1994.

    Cadieux, Geneviève (née en 1955, Montréal, Québec)
  • Campeau, Michel (né en 1948, Montréal, Québec) Campeau, Michel (né en 1948, Montréal, Québec)

    Michel Campeau est un photographe montréalais et l’un des fondateurs du Groupe d’action photographique (GAP). Le collectif est formé en 1971 par Campeau, Serge Laurin et Roger Charbonneau (né en 1947) pour documenter la société québécoise à travers des représentations intimes de celle-ci. Par ses œuvres, Campeau étudie des questions liées à l’histoire et à la pratique de la photographie, surtout en lien avec l’autobiographie et la famille, en privilégiant la forme du livre. Avec le GAP, Campeau participe au projet de documentaire qui se penche sur la vie sociale rurale au Québec, Disraeli : une expérience humaine en photographie (1972). Campeau a publié de nombreux ouvrages photographiques, dont Les tremblements du cœur (1988) et Éclipses et labyrinthes, 1988-1993 (1993).

     

    Image : Michel Campeau, Fête religieuse portugaise, Montréal, Québec, de la série Week-end au Paradis Terrestre!, 1980, épreuve à la gélatine argentique, 40,4 x 50,5 cm. © Michel Campeau/CARCC Ottawa 2023. 

     

    Lectures complémentaires :

     

    Campeau, Michel, Michel Campeau : éclipses et labyrinthes, Chicoutimi, Séquence, 1993.

     

    Campeau, Michel et Richard Baillargeon, Les tremblements du cœur, Québec et Montréal, VU et Éditions Saint-Martin, 1988.

     

    Dessureault, Pierre, « Montréal en images. Quelques projets marquants sur des quartiers montréalais », Ciel variable, vol. 105, hiver 2017.

     

    ———Michel Campeau : les images volubiles travaux photographiques, 1971-1996/Michel Campeau : Eloquent Images Photographic Works, 1971-1996, catalogue d’exposition, Ottawa, Musée canadien de la photographie contemporaine, 1996.

     

    Jongué, Serge, « The New Photographic Order », Thirteen Essays on Photography [aussi en français : « Le nouvel ordre photographique », Treize essais sur la photographie], Geoffrey James, dir., Ottawa, Musée canadien de la photographie contemporaine, 1990, p. 33-50.

     

    Langford, Martha, « Faith, Hope and Verity: Michel Campeau’s Photography and Realism », Border Crossings 32, no 4 (2013), p. 50-59.

     

    Szilasi, Doreen Lindsay, Disraeli : une expérience humaine en photographie, Québec, Les Publications de l’imagerie populaire, 1974.

    Campeau, Michel (né en 1948, Montréal, Québec)
  • Carr, Rosetta Ernestine (1845, canton de Drummond, Ontario - 1907, Ottawa, Ontario) Carr, Rosetta Ernestine (1845, canton de Drummond, Ontario - 1907, Ottawa, Ontario)

    Née en Ontario et formée à la photographie aux États-Unis ainsi qu’au studio Notman à Ottawa, Rosetta Ernestine Carr s’installe à Winnipeg en 1883 avec son mari. Elle achète et dirige pendant seize ans l’American Art Gallery, un grand studio commercial, et acquiert une renommée pour ses portraits d’enfants et ses commandes du gouvernement. En 1893, elle obtient le droit exclusif de photographier l’exposition industrielle de Winnipeg, ce qui pousse des concurrents mécontents à boycotter l’événement. Carr vend sa galerie en 1889 et vit ses dernières années à Ottawa, mais plusieurs de ses photographies se trouvent aux Archives du Manitoba à Winnipeg.

     

    Image : Rosetta Ernestine Carr, Manitoba University Natural Science class, senior BA (Classe de sciences naturelles de l’Université du Manitoba, BA niveau avancé), 1893, avec James Pullar, Frederick Burnham, John Davidson, J. A. McArthur et deux hommes non identifiés, Archives de la faculté de médecine de l’Université du Manitoba, Winnipeg.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Berry, Virginia G, « Rosetta Ernestine Watson (Carr) », Canada’s Entrepreneurs: From the Fur Trade to the 1929 Stock Market Crash: Portraits from the Dictionary of Canadian Biography Under the Direction of John English and Réal Bélanger, J. Andrew Ross et Andrew D. Smith, dir., Toronto, University of Toronto Press, 2011, p. 513-515.

     

    Close, Susan, Framing Identity: Social Practices of Photography in Canada, 1880-1920, Winnipeg, Arbeiter Ring Publishing, 2007.

    Carr, Rosetta Ernestine (1845, canton de Drummond, Ontario - 1907, Ottawa, Ontario)
  • Cassidy, Eugene Haanel (1903, Tokyo, Japon - 1980, Nevada City, Californie) Cassidy, Eugene Haanel (1903, Tokyo, Japon - 1980, Nevada City, Californie)

    Né au Japon de parents canadiens, Eugene Haanel Cassidy grandit au Canada. Dans les années 1930, il possède un studio à Toronto. Par ses premiers travaux artistiques, il aspire à saisir des images transcendantales du monde naturel. Sa série Plant Form (Forme végétale), 1938, transforme le feuillage en compositions abstraites à travers des images en plan rapproché qui mettent en évidence la forme, le motif et la texture. Son exposition Plant Patterns in Hawaii and Japan (Motifs de plantes à Hawaï et au Japon), présentée en 1938 à l’Art Gallery of Toronto (aujourd’hui le Musée des beaux-arts de l’Ontario), est l’une des premières expositions individuelles d’œuvres photographiques tenues au musée. En 1944, Cassidy déménage à New York pour travailler comme photographe de magazine chez Condé Nast.

     

    Image : Eugene Haanel Cassidy, Plant Form Leaves with Circular Protrusion (Forme végétale, feuilles à protubérance circulaire), 1938, épreuve au bromure de chlore, 39,9 x 50,9 cm, Musée des beaux-arts de l’Ontario, Toronto.

     

    Lecture complémentaire :

     

    Sutnik, Maia-Mari et Ruth Bains Hartmann, E. Haanel Cassidy, photographs 1933-1945, catalogue d’exposition, Toronto, Musée des beaux-arts de l’Ontario, 1981.

    Cassidy, Eugene Haanel (1903, Tokyo, Japon - 1980, Nevada City, Californie)
  • Clark, June (Clark-Greenberg) (née en 1941, New York, New York) Clark, June (Clark-Greenberg) (née en 1941, New York, New York)

    June Clark grandit à Harlem, à New York, et immigre à Toronto en 1968 avec son mari, qui veut échapper au service militaire pendant la guerre du Vietnam. Au début des années 1970, elle apprend la photographie auprès de la Women’s Photography Co-op établie à la Baldwin Street Gallery. Les premières œuvres de Clark sont des portraits et des scènes de ville, notamment une série de photographies prises à Cuba. À peu près au moment de son entrée au programme de maîtrise en beaux-arts de l’Université York en 1988, elle expérimente la photographie du point de vue de la forme et du contenu. Pour Formative Triptych (Triptyque formateur), 1989, Clark réalise des photogravures de clichés qu’elle retravaille pour en faire des transparents exposés sur des caissons lumineux. La présentation peut évoquer la publicité, mais le texte qui l’accompagne contraste vivement avec les messages positifs de marketing. Deux photographies agrandies de Clark enfant et un portrait de la chanteuse de blues Bessie Smith côtoient des mots qui expriment la réflexion de Clark sur l’expérience du racisme et sur les difficultés liées à la mémoire.

     

    Image : June Clark, Formative Triptych (Triptyque formateur), détail, 1989, trois transparents duratrans dans des caissons lumineux, 111,5 x 152,2 cm chacun, Musée des beaux-arts de l’Ontario, Toronto. Photographie de Bessie Smith © Fonds Carl Van Vechten.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Lee, Yaniya, « Review: Unrequited Love », Canadian Art, 19 février 2021. https://canadianart.ca/reviews/unrequited-love/

     

    « Meet Toronto Artist June Clark », AGOInsider, Toronto, Musée des beaux-arts de l’Ontario, 1er novembre 2016.
    https://ago.ca/agoinsider/meet-toronto-artist-june-clark

     

    « Weekly Wednesday Conversation: Artist Spotlight – June Clark », Toronto, Musée des beaux-arts de l’Ontario, mercredi 22 juillet 2020, vidéo, 39 min 41 s. https://www.youtube.com/watch?v=v_hOC8We9xs&t=282s

    Clark, June (Clark-Greenberg) (née en 1941, New York, New York)
  • Cohen, Sorel (né en 1936, Montréal, Québec) Cohen, Sorel (né en 1936, Montréal, Québec)

    Sorel Cohen est une photographe établie à Montréal dont la pratique artistique s’inspire de l’histoire de l’art, de la performance et de la théorie féministe. S’inscrivant dans un mouvement postmoderne plus large de la photographie des années 1970, Cohen s’approprie des techniques artistiques historiques dans sa série d’études de mouvements telles que Le rite matinal, 1977, et After Bacon/Muybridge (D’après Bacon/Muybridge), 1980. Dans An Extended and Continuous Metaphor (Métaphore filée), 1983-1986, Cohen remet en question les rôles traditionnellement masculin et féminin des artistes et des sujets en jouant les deux rôles devant la caméra.

     

    Image : Sorel Cohen, An Extended and Continuous Metaphor No. 6 (Métaphore filée no 6), détail, 1983, trois épreuves à développement chromogène, (panneau central) 179,5 x 205 cm; (panneaux latéraux) 119 x 119 cm chacun, Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa. © Sorel Cohen/CARCC Ottawa 2023.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Cohen, Sorel, Sorel Cohen, catalogue d’exposition, Montréal, Musée d’art contemporain de Montréal, 1986.

     

    Sloan, Johanne, « Relations, 1988: Photographic, Postmodern, Feminist », Journal of Canadian Art History/Annales d’histoire de l’art canadien, vol. 36, no 1 (2015), p. 181-201.

    Cohen, Sorel (né en 1936, Montréal, Québec)
  • Comiter, Alvin (né en 1948, New York, New York) Comiter, Alvin (né en 1948, New York, New York)

    Alvin Comiter émigre des États-Unis puis enseigne à l’Université NSCAD à Halifax. Ses premières photographies de bâtiments en Nouvelle-Écosse, par leur souci du détail, témoignent de son intérêt pour la photographie conceptuelle et la typologie. La série fait l’objet d’une exposition individuelle à la Galerie d’art de l’Université Mount Saint Vincent, à Halifax, en 1989. Avec le temps, son œuvre a plutôt été commentée en termes d’archives et de conservation de l’architecture, notamment dans Landmarks: Historic Buildings of Nova Scotia (1994).

     

    Image : Alvin Comiter, Old Town Clock, Citadel Hill, Halifax (La vieille horloge, Citadel Hill, Halifax), 1988, épreuve à la gélatine argentique, 27,9 x 35,3 cm; (image) 24,2 x 30,6 cm, collection MCPC, Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Comiter, Alvin, Alvin Comiter: Photographs, catalogue d’exposition, Halifax, Dalhousie Art Gallery, 1984.

     

    Pacey, Elizabeth et Alvin Comiter, Landmarks: Historic Buildings of Nova Scotia, Halifax, Nimbus, 1994.

    Comiter, Alvin (né en 1948, New York, New York)
  • Cousineau, Sylvain P. (1949, Arvida, Québec - 2013, Londres, Angleterre) Cousineau, Sylvain P. (1949, Arvida, Québec - 2013, Londres, Angleterre)

    Sylvain P. Cousineau a vécu et travaillé à Montréal, à Ottawa, en France et en Angleterre. Artiste conceptuel, il réalise des peintures, des photographies et des installations. Dans les années 1970 et 1980, son travail en photographie comprend une série de portraits, de paysages et de photographies de rue en noir et blanc. En 1977, il publie Mona Nima, une série de photographies poétiques et intimes inspirées par le livre de photos Open Passport (1973) de John Max, paru quelques années auparavant. Mona Nima est composée de trente-quatre images en noir et blanc, dont The Boat (Le bateau), 1972. Cousineau a enseigné à l’Université de Moncton et à l’Université d’Ottawa.

     

    Image : Sylvain P. Cousineau, The Boat (Le bateau), image de couverture de Mona Nima (1977), 1973, imprimée en 1976, épreuve à la gélatine argentique, 20,3 x 25,3 cm; (image) 15,8 x 23,4 cm, Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Cousineau, Sylvain P., Mona Nima, Almonte, Powys Press, 1977.

     

    Cousineau, Sylvain P. et Philip Fry, Sylvain P. Cousineau: Photographs and Paintings, catalogue d’exposition, Regina, Dunlop Art Gallery en collaboration avec la Walter Phillips Gallery, 1980.

     

    Hardy-Vallée, Michel, « The Photobook as Variant: Exhibiting, Projecting, and Publishing John Max’s Open Passport », History of Photography, vol. 43, no 4 (2019), p. 399-421.

    Cousineau, Sylvain P. (1949, Arvida, Québec - 2013, Londres, Angleterre)
  • Cox, Horace Gordon (H. G.) (1885, Kidderminster, Angleterre - 1972, Vancouver, Colombie-Britannique) Cox, Horace Gordon (H. G.) (1885, Kidderminster, Angleterre - 1972, Vancouver, Colombie-Britannique)

    Ingénieur de formation, Horace Gordon Cox travaille pendant près de trente ans pour le ministère des Travaux publics de la Colombie-Britannique. Peu après ses débuts en photographie en 1924, il devient un membre actif des clubs photo de la Côte Ouest et des salons pictorialistes internationaux, et ses œuvres font l’objet de plusieurs expositions individuelles au Musée des beaux-arts de Vancouver. Ses photographies partagent le goût pictorialiste pour le flou artistique et les nus classiques, mais elles sont aussi rigoureusement conçues autour des idées de Cox sur la symétrie dynamique. Après son décès, la plupart de ses photographies sont restées dans sa famille, et ses contributions ont été largement oubliées, jusqu’à une exposition, en 2003, à la Presentation House Gallery de Vancouver.

     

    Image : H.G. Cox, The Idol Worshippers [Nellie Near and Cora Pasmore] (Les adoratrices de l’idole [Nellie Near et Cora Pasmore]), 1928, épreuve à la gélatine argentique en tons sépias.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Jeffries, Bill, Athens on the Fraser: The Photographs of H. G. Cox, catalogue d’exposition, North Vancouver, Presentation House Gallery, 2003. https://thepolygon.ca/wp-content/uploads/2017/10/2003-H.G.-Cox-brochure.pdf

     

    Jefferies, Bill et al., H.G. Cox: British Columbia Pictorialist, catalogue d’exposition, North Vancouver, Presentation House Gallery, 2004.

    Cox, Horace Gordon (H. G.) (1885, Kidderminster, Angleterre - 1972, Vancouver, Colombie-Britannique)
  • Cumming, Donigan (né en 1947, Danville, Virginie) Cumming, Donigan (né en 1947, Danville, Virginie)

    Donigan Cumming est un photographe et un artiste multimédia canadien qui vit et travaille à Montréal. Dans ses premières œuvres, il se penche sur les implications sociales et éthiques de l’image d’observation en réinterprétant les clichés de la photographie moderniste. Dans sa série Reality and Motive in Documentary Photography, Parts 1-3 (La réalité et le dessein dans la photographie documentaire, parties 1-3), 1982-1986, des personnes prennent la pose dans des intérieurs domestiques et institutionnels, ainsi que dans des propriétés de banlieue et des chalets. L’approche théâtrale et absurde développée par Cumming suscite un débat critique.

     

    Image : Donigan Cumming, Untitled [August 12, 1983] (Sans titre [12 août 1983]), de la série Reality and Motive in Documentary Photography, Parts 1-3 (La réalité et le dessein dans la photographie documentaire, parties 1-3), 1982-1986, épreuve à la gélatine argentique, 25,7 x 37,8 cm.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Bogardi, George, « Dans l’intimité : les photographies de Donigan Cumming », Treize essais sur la photographie, Geoffrey James, et al., Ottawa, Musée canadien de la photographie contemporaine, 1990, p. 72-86.

     

    Graham, Robert, « Documentary and the Powers of Description/L’autorité de la description dans le documentaire », Reality and Motive in Documentary Photography/La réalité et le dessein dans la photographie documentaire, Martha Langford, dir., catalogue d’exposition, Ottawa, Musée canadien de la photographie contemporaine, 1986, p. 6-13.

     

    Langford, Martha, « Donigan Cumming: Crossing Photography’s Chalk Lines/Donigan Cumming : au mépris des frontières artificielles », Reality and Motive in Documentary Photography/La réalité et le dessein dans la photographie documentaire, Martha Langford, dir., Ottawa, Musée canadien de la photographie contemporaine, 1986, p. 14-36.

     

    Tousignant, Zoë, « Rebut et refus dans l’art de Donigan Cumming », Corps-à-corps : l’œuvre de Donigan Cumming, Montréal, Vidéographe, 2020. https://publications.vitheque.com/fr/ap/corps-a-corps-loeuvre-de-donigan-cumming

    Cumming, Donigan (né en 1947, Danville, Virginie)
  • Curtin, Walter (1911, Vienne, Autriche - 2007, Toronto, Ontario) Curtin, Walter (1911, Vienne, Autriche - 2007, Toronto, Ontario)

    Walter Curtin immigre au Canada en 1952 et travaille comme photojournaliste et photographe commercial à Toronto. Il produit des photoreportages pour le Service de la photographie de l’Office national du film du Canada (ONF). Il passe éventuellement d’un appareil 8 x 10 à un appareil 35 mm, plus agile pour saisir la vivacité des performances. Dans les années 1970, il entreprend un projet de documentation de la scène musicale classique de Toronto, intitulé The Musicians (Les musiciens). Des photos de ce projet ont été présentées dans l’exposition éponyme de l’ONF en 1982.

     

    Image : Walter Curtin, Fujiko Imajishi Rehearsing for a Canadian Broadcasting Commission Recording at St. James, Toronto (Fujiko Imajishi répétant avant l’enregistrement d’une émission pour le réseau anglais de Radio-Canada, à Saint-James, Toronto), 1973, imprimée en 1974, épreuve à la gélatine argentique, 40,5 x 50,7 cm; (image) 24 x 35,1 cm, collection MCPC, Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa.

     

    Lectures complémentaires :

     

    Curtin, Walter et Kenneth Winters, Curtin Call: A Photographer’s Candid View of 25 Years of Music in Canada, Toronto, Exile Editions, 1994.

     

    Hanna, Martha, Walter Curtin: A Retrospective/Walter Curtin : une rétrospective, catalogue d’exposition, Ottawa, Musée canadien de la photographie contemporaine, 1985.

    Curtin, Walter (1911, Vienne, Autriche - 2007, Toronto, Ontario)
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